Les menaces
contre Obama se précisent
dans la presse britannique après l’élection de Barack Obama confirment la mise en garde lancée par Lyndon LaRouche le 30 octobre sur le risque d’assassinat du président élu des Etats-Unis.
Le 6 novembre, le Daily Express
titrait sur toute sa une « La cible Obama » et évoquait « la crainte
qu’Obama n’atteigne jamais la Maison Blanche ». L’article était précédé
d’un chapeau expliquant « une opération de style militaire pour garder
Obama vivant, était en cours hier, dans les heures suivant sa
victoire ».
« Beaucoup craignent qu’une tentative d’assassinat ne soit
qu’une question de temps », averti l’article, avant de rapporter en
détails le dispositif de protection du Secret Service sur la famille
Obama et le refus du président élu, contre l’avis des responsables de
sa sécurité, de porter un gilet pare-balles.
L’article a été repris dans de nombreux journaux du Royaume-Uni et du Commonwealth.
« Ce genre de comportement, venant de la presse britannique, ne me surprend pas du tout », a déclaré Lyndon LaRouche. « Les
Britanniques exultent publiquement sur leurs plans d’assassinat contre
le président élu des Etats-Unis. Ceci doit être arrêté à tout prix. »
Le 30 octobre, LaRouche mettait en garde :« Il est vrai que récemment, Obama a reçu le soutien apparemment enthousiaste de la presse de l’establishment britannique, dont le Financial Times et le magazine virulemment anti-américain, The Economist. Mais il serait fort imprudent d’oublier cette tradition ancestrale du baiser de la mort. »
« En plein effondrement du système
financier et monétaire international, il n’y a rien que l’establishment
financier anglo-hollandais puisse désirer davantage que de détruire la
souveraineté constitutionnelle des Etats-Unis. (…) le plus grand danger
reste que les Britanniques, ayant réussi à mettre leur homme à la
Maison blanche, décident que leur cause sera mieux servie en
l’assassinant. » [*]
Il concluait sa déclaration en disant : « Face
à cette menace, les républicains et les démocrates sensés doivent se
rassembler en une force nationale qui défende l’intégrité du pays et
adopte les politiques qui la sauveront. »
[*]
L’objectif stratégique d’un tel assassinat est sans aucun lien avec le
mobile raciste qui pourrait l’inspirer, la haine raciale réciproque
étant justement utilisée comme ferment de déstabilisation des
Etats-Unis. Dans ce contexte, la « propagande par le fait » instiguée
par la presse britannique contribue à créer le climat d’un assassinat.
http://www.solidariteetprogres.org/article4788.html