Par Bernard Cassen, secrétaire général de Mémoire des luttes, président d’honneur d’Attac. L’événement n’a été commenté dans aucun grand média, et on comprend pourquoi : au moment où l’Union européenne (UE) du traité de Lisbonne – celle de la « concurrence libre et non faussée » et de l’indépendance de la Banque centrale -, s’enfonce dans la discorde, la récession et, en Grèce, dans le chaos social, il aurait été mal venu de...