Comme des mouches dans un bocal scellé.
Le conflit en Palestine est riche d’informations permettant de prendre conscience des fondamentaux humains et de ce qui nous entrave vers l’avancée d’un état d’harmonie.
Analyse d’un mécanisme psychologique fondamental inhérent à tout humain, la métamorphose réversible du criminel en victime et de la victime en criminel. Cette analyse prend appui sur deux mouvements pro palestiniens, l’un ayant pour thème : « Un seul Etat pour tous » (en Israël – Palestine), et l’autre : « Pour une paix juste au Proche-Orient) ».
Documents illustrant cette analyse en annexe :
- « Un seul Etat pour tous ». Appel à soutien de Ginette Hess Skandrani, victime d’agression par la racaille sioniste.
- Appel « Pour une paix juste au Proche-Orient », de la part du Collectif des magistrats et professeurs de droit (voir Jean-Louis
Chalanset). - Liste de soutiens à l’élection comme bâtonnier de l’ordre des avocats de Christian Charrière-Bournazel (voir Jean-Louis Chalanset).
- Le mot du Président de la fédération d’Île de France de la LICRA (il ressemble sur la photo du site de la LICRA , à Alain Bauer), au sujet de Christian Charrière-Bournazel.
- L’avocat de Nathalie Ménigon, maître Jean-louis Chalanset, dépêche de l’AFP.
- Christian Charrière-Bournazel, qualifie Faurisson de marchand de pourriture (site juif Alliance, magazine sur le net)
- Site cosal.net, appel pour une épuration élargie au barreau de Paris (comique troupier).
- Le curriculum vitae d’Olivia Zemor, la directrice de Pour une paix juste au Proche-Orient, où elle omet de préciser qu’elle fait partie du premier cercle de Lutte Ouvrière (il faut savoir que Lutte ouvrière a procédé dans les années 1980 à une épuration de tout ce qui était radicalement antisioniste).
- Une agression sioniste sur mesure, aussi contre Olivia Zemor (site hns-info.net).
- Les faits d’arme d’Olivia Zemor, stakanoviste en service commandé (liste des faits tirée du site europalestine.org). Mais d’où vient l’argent utilisé pour mettre en oeuvre une telle masse d’activités ? Et quel merveilleuse manière de propager l’acceptation du fait accompli de la création d’Israël (voir la charte de la CAPJO : retour d’Israël dans les frontières de 1967 …).
Introduction :
L’un des moyens les plus efficaces pour le criminel d’échapper à la justice et à la vengeance de ses victimes, est de se métamorphoser aussitôt son crime accompli, lui-même en victime, afin de bloquer tout désir de vengeance et de demande de réparation, de justice, en désarmant, décontenançant, déconcertant, désorientant, apitoyant ses poursuivants. Ceci est illustré de façon lumineuse, par le comportement des juifs, qui forment une caste mondiale enrichie, dominant les sociétés, jouissant de l’exploitation et de l’oppression répandue partout dans le monde, caste qui s’est appropriée un territoire géographique en en martyrisant et en en exterminant progressivement la population entière, le peuple de Palestine. Mais le comportement juif, sorte de complainte, de lamentation du bourreau éternellement persécuté par ses victimes, par les hurlements et les plaintes mêmes de ses victimes, n’est qu’une mise en évidence d’un comportement universellement répandu dans toute l’humanité, qu’on peut constater pour commencer au niveau basique du contexte familial, dans le rapport commun existant entre les parents et leurs enfants, enfants universellement non respectés par leurs parents.
La vie se passe ensuite, pour tout adulte qui ne reste qu’un enfant qui a été maltraité, et qui porte cette maltraitance au fond de lui, à perpétuer mécaniquement, sans pouvoir en sortir, ce cercle vicieux où il est enfermé, et où il enferme le monde, soit de brutaliser autrui, puis de se réfugier dans un statut de victime, interdisant à autrui d’obtenir justice, bloquant ainsi toute évolution sociale, morale et politique, toute reconnaissance du crime et de la différenciation entre criminalité et innocence, et toute évolution des mentalités.
Tous les conflits humains au niveau politique et économique trouvent leur fondement au niveau familial, dans la petite enfance. Le non respect des enfants par les parents entraîne les spoliations, les massacres, l’existence des classes, l’inégalité et la perpétuation sans fin et sans issue de tous ces maux.
Comme ces conflits ne sont traités qu’au niveau très superficiel qu’on connaît, soit par des affrontements politiques, guerriers et économiques, aucune avancée n’est possible.
Ce travail est une tentative pour relier les domaines en apparence éloignés de l’enfance, du rapport parent enfant, et les domaines macroscopiques de la politique générale et mondiale.
Prendre le cas des juifs n’est pas dû au hasard, car il s’agit sans doute d’une population où l’enfant est le moins respecté parmi toutes les populations humaines. L’enfant juif, au contraire de ce qui est présenté, est si peu respecté, c’est à dire si bien dressé, qu’à peine sorti du berceau, il est devenu obéissant comme un cadavre. Il respectera l’ordre de sa caste, jusqu’à sa mort, sans pouvoir en sortir, et même les juifs qui semblent s’opposer à cet ordre ne font en réalité que continuer à le servir, à le renforcer.
Remarque préliminaire :
En réalité être sioniste ou juif, est un seul et même état. Ceux qui font la démarcation entre juifs et sionistes tentent d’échapper à l’accusation fatale actuelle de sorcellerie, qui a pris nom d’antisémitisme. Ils adoptent la pose de prétendre que les sionistes ne seraient que des juifs dévoyés, que le judaïsme lui, serait humain, et que donc, ne critiquant pas le judaïsme, on ne peut pas les taxer d’antisémitisme.
1 – « Un seul Etat pour tous » (en Israël – Palestine).
Certains, à cause de leur quête effrénée de reconnaissance sociale, due à de profondes failles psychologiques, sont progressivement devenus
guère plus que de la « viande à manipulation ».
C’est en général valable pour tous ceux qui participent à la mouvance pro palestinienne en France, dont ceux de Un seul Etat pour tous et de Pour une paix juste au Proche-Orient.
Ceux d’ « Un seul Etat pour tous » en Israël – Palestine, ou autrement dit, « un homme une voix », expriment clairement l’idée d’égalité possible entre juifs et non juifs, en Israël – Palestine, et par extension partout ailleurs dans le monde. On retrouve ce même type de mensonge chez ceux qui évoquent un système d’apartheid en Israël, par analogie avec l’Afrique du Sud, alors qu’en Afrique du Sud, il y avait malgré tout une acceptation des noirs (il n’était pas question de les faire disparaître), ce qui n’est absolument pas le cas vis à vis des arabes et plus généralement des non juifs, en Israël.
Quelle merveille de la part des services spéciaux sionistes, que cette manipulation, dont voici la teneur :
« Mais enfin, vous voyez bien que nous sommes humains, nous sionistes, nous juifs, puisque les opposants au sionisme qui sont réputés être les plus radicaux, pensent qu’il est non seulement possible et envisageable, mais souhaitable pour la paix, que des juifs coexistent avec des non juifs, et encore mieux, qu’ils coexistent dans le saint des saints, dans le plus sacré des sanctuaires sacrés du monde entier, celui qui est réservé aux seuls juifs, juifs qui ont été créés par dieu à son image, qui sont donc eux-mêmes des dieux, dans cette terre haut dessus de la loi commune terrestre, de la loi des hommes, terre divine, terre des immortels, des sublimes, des élus, qu’est Israël, l’état juif ».
C’est la coexistence entre le profane et le sacré, entre des mortels et des immortels, entre des dieux et des hommes. Voilà pour l’utopie
(ce qui n’existe pas).
Que de plus, ce mouvement « Un seul Etat pour tous », qu’on pourrait baptiser « coexistence ou rencontre pacifique entre juifs et non juifs
», entre sionistes et non sionistes, ait été à l’origine imaginé et mis en oeuvre par deux personnes juives ou d’ascendance juive (l’israélien Israël Shamir, et la française Ginette Skandrani), permet de manière implicite de propager que même au sein de l’opposition considérée comme étant la plus radicale au sionisme ou au judaïsme (Shamir s’est même converti au christianisme), les juifs demeurent les guides, qu’ils sont donc d’une essence supérieure à celle des non juifs.
Rien que du profit donc, pour les services spéciaux sionistes de la section propagande, mais cela ne s’arrête pas là, loin de là, et on le verra par la suite.
Voilà pourquoi il fallait assurer gracieusement les promotions de Shamir et de Skandrani.
Pour Shamir, cette promotion pris la forme de poursuites judiciaires exercées envers les malheureux libraires et éditeurs impliqués dans la
diffusion de ses écrits, et de convocations plutôt effectuées mollement par la police israélienne (il est quand même de la race des dieux, son traitement même policier doit le distinguer).
Pour Skandrani, on débuta sa campagne de promotion, en l’incluant à un groupe d’une dizaine de personnalités renommées, critiques vis à vis du sionisme, groupe qui fut la cible d’un envoi postal circulaire de lettres de menaces de mort et de balles de fusil, envoi opéré par un vieux juif à demi gâteux, fanatique, obtus et facile à manipuler (voir en annexe). Cela donna à Skandrani un bon début de popularité. Puis cette opération de promotion se continua par une agression physique qui donna lieu à des diffusions publiques de photographies de son visage marqué par les coups, agression opérée par de jeunes juifs crétinisés à l’extrême, fanatiques et serviles, eux aussi on ne peut plus faciles à manipuler (voir en annexe).
Voilà comment les services spéciaux sionistes organisèrent via le milieu des antisionistes radicaux, la propagation que le sionisme – ou judaïsme – termes qui ne recouvrent que l’idéologie triviale de l’extrémisme suprématiste juif, sont au fond des sortes d’humanismes, puisque les opposants réputés les plus authentiques au sionisme ou au judaïsme, sont eux-mêmes sincèrement convaincus qu’un humain peut vivre avec un juif ou un sioniste, et donc par extension que les autres nations et l’ONU peuvent exister en même temps qu’Israël, que l’existence d’Israël n’exclue par l’existence des autres nations et de l’ONU, que l’existence des juifs ou sionistes n’exclue pas celles des humains non juifs, des humains normaux.
Mais la cerise sur le gâteau était encore à venir.
Ce milieu antisioniste propagateur de l’idée d’un humanisme juif ou d’un humanisme sioniste, est connu comme partageant les thèses des
révisionnistes, tout en ne s’affichant pas lui-même révisionniste.
Ce milieu antisioniste est convaincu que l’holocauste, les chambres à gaz et les six millions de juifs gazés et brûlés dans les fours crématoires nazis, ne sont qu’une affabulation des juifs sionistes, affabulation créée dans un but de propagande afin de justifier l’existence d’Israël, et au-delà, le suprématisme intégral des juifs ou sionistes sur le genre humain.
Cette affabulation; l’holocauste, qui permet de faire passer le criminel absolu pour la victime absolue, n’est jamais ouvertement abordée par cette mouvance antisioniste radicale.
On atteint là, avec cette attitude, le profit maximum possible pour les services spéciaux sionistes.
En effet, que demandent, qu’exigent en réalité les tenants de l’affabulation de l’holocauste (et non les petites mains utilisées pour
la propagande de l’holocauste, ceux qui y croient, tel le regretté Vidal Naquet) ?
Pas le moins du monde qu’on croit à leur montage, cela ils s’en contrefichent. Ils méprisent d’ailleurs ceux qui sincèrement croient à la réalité de l’holocauste. En effet, comment ne pas mépriser ceux qui admettent que la moitié des juifs du monde ont disparu durant la période nazie, alors qu’on constate mondialement à peu de chose près, le même nombre de juifs avant et après le nazisme (autour de 12 millions), et qu’une personnalité comme Simone Veil figure dans les Cahiers d’Auschwitz n° 7, comme déportée en avril 1944 et gazée à la même date, à l’instar de milliers d’autres juifs gazés moins connus ?
Tout ce que demandent les inventeurs de l’holocauste, c’est qu’on fasse mine de croire à ce mensonge, tout en sachant que c’est une invention, un mensonge. Pour eux, il est même crucial qu’on le sache.
Cela la plupart des révisionnistes ne l’ont pas encore compris, ce qui démontre qu’ils n’ont pas encore saisi ce qu’est un juif ou sioniste, et plus largement, ce qu’est le pouvoir, et ce qu’est tout mental obsédé, assoiffé et guidé par la recherche du pouvoir.
Ceux qui sincèrement croient à l’holocauste n’intéressent en rien les judéo sionistes, car ceux-là ont perdu toute réelle existence, et
il n’y a aucun plaisir à régner sur eux, à exercer son pouvoir sur eux, à jouir de sa domination sur eux.
Il ne peut y avoir de plaisir, de jouissance à dominer des choses.
On ne jouit de son pouvoir, on ne peut ressentir le plaisir d’exercer sa domination, que vis à vis d’êtres, qui restent des êtres, c’est à dire qui souffrent d’être dominés, c’est à dire qui sont conscients d’être dominés.
Celui qui exerce le pouvoir ne se sent exister que par la souffrance de celui qu’il domine.
Le pouvoir sans la souffrance infligé à autrui est un plat sans saveur.
Ce milieu d’antisionistes radicaux, qui d’une part propagent l’idée de l’humanisme juif ou sioniste, et d’autre part, véhiculent l’acceptation en façade de l’holocauste, qu’ils ne remettent pas publiquement en cause, alors que cet holocauste est le pilier idéologique principal qui fonde Israël, tout en étant convaincu que cet holocauste est un mensonge, et tout en sachant que tout le monde sait que ce milieu n’y croit pas mais fait seulement mine d’y croire, car ne démentant pas publiquement ce qu’il sait être un mensonge, expose parfaitement l’attitude idéale que les judéo sionistes demandent d’observer aux humains qu’ils dominent.
Le fin du fin pour qui domine, est de se savoir détesté par des gens qui doivent non seulement masquer cette détestation, mais plus encore, vous aduler en apparence, jusqu’à rechercher votre présence.
Un seul Etat pour tous, réunissant juifs et non juifs, est sans aucun doute un régal pour les services spéciaux sionistes, qui font tout pour que ce mouvement perdure.
Un autre mouvement que ces services spéciaux sionistes souhaitent voir perdurer, est celui dénommé Pour une paix juste au Proche-Orient.
2 – « Pour une paix juste au Proche-Orient ».
Le mouvement « Pour une paix juste au Proche-Orient », est le vis à vis de gauche du précédent (« Un seul Etat pour tous »), précédent qui lui, est plutôt marqué comme étant à droite.
Ce slogan qui caractérise ce mouvement est encore plus simple à décortiquer que celui d’Un seul Etat pour tous, et il est encore plus
simple d’en extraire le jus de son imposture. La ficelle est bien plus grossière que celle d’Un seul Etat pour tous.
En effet, on annonce au moins là, explicitement la couleur.
Il ne s’agit pas d’exiger la Justice au Proche-Orient, soit ce qui viendrait naturellement à l’esprit de tout citoyen moyen, mais une paix
juste, c’est à dire qu’on renonce à l’idée de justice, qu’on accepte donc un état définitif d’injustice, et que tout ce qu’on propose, est
l’établissement d’un modus vivendi entre bourreaux et victimes, soit entre juifs et non juifs, au Proche-Orient, et par extension, de par le monde.
Ce slogan n’est que la façade d’un autre slogan, le vrai celui-là, qui reste à formuler exactement, et qui exprime que la cohabitation est
possible entre prédateur et proie, dans ce cas, entre le juif ou le sioniste, et les non juifs, ou non sionistes.
C’est ce même but qui est implicitement ou inconsciemment poursuivi par ces deux mouvements pro palestiniens, soit l’acceptation par les
victimes de leur statut de victime, l’acceptation pour les proies, de leur état de proies.
Les tenants de ces deux slogans, les premiers gravitant autour des deux personnages juifs Shamir et Skandrani, les seconds autour d’une
autre juive, Olivia Zemor, travaillent en le sachant, ou sans le savoir, la question n’est pas tranchée, pour la stabilisation, la perpétuation du suprématisme juif.
Dans le contexte du second slogan, on peut en cherchant, trouver sur l’Internet, un document intéressant, une pétition signée par des hommes de loi (voir en annexe), des hommes de droit, pétition exigeant « Une paix juste au Proche-Orient », alors que tout homme de droit authentique, sait que l’existence de l’Etat d’Israël, et la présence des judéo sionistes au Proche-Orient est en totale contradiction avec le droit international, et le sera toujours, puisque la création d’Israël par l’ONU va radicalement à l’encontre du principe fondateur même de l’ONU, soit du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, car le peuple palestinien, par la décision de 1947 prise par l’ONU de créer un Etat juif sur son sol natal de Palestine, voyait bafoué radicalement ce droit fondamental de l’ONU, celui de disposer de ce qui lui est le plus sacré, et de ce qui est le plus sacré pour tout autre peuple, soit son sol natal. Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, qui est le texte fondateur de l’ONU, devenait deux années après sa promulgation, le droit des colons à disposer de leur conquête, soit le droit de coloniser, d’asservir d’autres peuples plus faibles, et plus encore dans le cas des juifs, le droit de spolier, de déporter, de terroriser et d’exterminer. Beau résultat.
En fait, depuis la création d’Israël par l’ONU en 1947, le droit de conquête géographique et son corollaire, celui d’éliminer une population sur le sol conquit, est reconnu comme étant le fondement même du droit international.
La charte de l’ONU de 1945, interprétée par le judéo-sionisme en 1947, ce qui est l’interprétation qui prévaut jusqu’à nos jours, instaure la loi de la jungle, le règne du plus fort comme norme morale, et inaugure la fin même du droit, la fin de toute société civilisée, la fin de toute évolution humaine possible.
La seule Paix juste au Proche-Orient se fera un jour, et c’est certain, par le départ du dernier des judéo sionistes du Proche-Orient, et Un seul Etat pour tous se fera quand le suprématisme juif, et au-delà, tout autre suprématisme, qu’il soit fondé sur la « race » ou l’argent ou autre (dans le cas du suprématisme juif il s’agit d’un cas unique au monde de ploutocratie raciale), aura été éradiqué de toutes les sociétés humaines, et quand l’humanité aura assez évolué pour traquer sans pitié, ceux qui prôneront le suprématisme, l’élitisme, d’une caste sur la masse (les juifs ne sont pas loin de là, le seul cas de suprématisme).
Pour comprendre les connexions du sionisme qui vont de la LICRA à une Pour une paix juste au Proche-Orient d’Olivia Zemor de Lutte Ouvrière, on peut suivre le cas de l’avocat Jean-Louis Chalanset, qui est connu comme étant l’avocat de Nathalie Ménigon, laquelle vient juste de sortir de prison. Nathalie Ménigon est l’une des terroristes du groupe Action Directe, une organisation entièrement manipulée à la fois par les socialistes français, et par les services spéciaux de l’ex RDA. On trouve l’avocat Chalanset comme signataire de la pétition « Pour une paix juste au Proche-Orient », pétition diffusée par Zemor (voir à l’annexe), ainsi que comme signataire d’une autre pétition ayant pour objet l’élection du bâtonnier de l’ordre des avocat à Paris, Christian Charrière Bournazel, connu pour être un sioniste engagé et un antirévisionniste enragé (voir en annexe). Maître Charrière Bournazel était président de la Fédération de la LICRA pour l’Île de France (voir en annexe), et il a traité Faurisson de marchand de pourriture (voir en annexe).
On peut voir là, la conjonction du sionisme de droite et de celui de gauche, le sionisme, comme le judaïsme, transcendant les clivages politiques et les classes sociales (ainsi un juif pauvre se sent solidaire d’un Rothschild, le contraire est plus improbable).
Concernant ceux de Pour une paix juste au Proche-Orient, il est facile de constater qu’ils tiennent à leur Shoah comme à la prunelle de
leurs yeux (Zemor traque les révisionnistes, Chalanset vote pour un anti révisionniste acharné).
La Shoah est la zone aveugle de leur globe oculaire, le voile projeté sur eux-mêmes qui leur permet de se masquer ce qu’ils sont, qui
leur permet de cacher à eux-mêmes quelle est leur réalité. La Shoah est une sorte de glaucome propre aux juifs ou sionistes.
Pour la gauche et l’extrême gauche, la Shoah permet d’occulter la criminalité intrinsèque du marxisme, et du camp de concentration
généralisé qu’était l’univers communiste, qu’on le dénomme trotskiste ou stalinien.
Il s’agit dans le cas de Pour une paix juste au Proche-Orient, d’un auto déni de son état de criminel, d’une auto censure de sa conscience.
L’affabulation de la Shoah sert à ces gens de gauche et d’extrême gauche à se croire moralement des êtres supérieurs, immaculés, alors
que ce ne sont que de vulgaire criminels en manque de stature socialement anoblissante.
La chasse aux révisionnistes qui caractérise la gauche et l’extrême gauche, sert à dévier leur culpabilité de criminels qu’ils devraient ressentir vis à vis d’eux-mêmes, sur des proies en situation de faiblesse, proies qui ne peuvent se défendre, et à qui la loi interdit même de se défendre.
Des personnages comme Jean-Louis Chalanset, typique de ce milieu, qui à la fois vote pour Pour une paix juste au Proche-Orient et pour un sioniste anti révisionniste extrémiste comme l’est maître Christian Charrière Bournazel, et qui de plus se pare de l’habit de la révolte sociale en défendant une ex-membre d’Action Directe, ne peut être compris que si on prend conscience de se trouver face à une espèce de criminel particulière, celle de la gauche marxiste, qui s’emploie à mobiliser toutes ses capacités psychiques pour tenir aussi éloigné de lui-même qu’il le peut, sa prise de conscience de son état de criminel.
La chasse aux révisionnistes leur permet de réaliser cette tenue à l’écart de leur conscience de leur état de criminel.
Mais au-delà, il s’agit de tenir à l’écart de leur conscience, le caractère intrinsèquement criminel du judaïsme, et des personne éduquées comme juifs, qu’ils soient repenties, ou convertis à une autre religion, ou non, car ils ne peuvent que rester pour toujours marqués par leur conditionnement initial, car un juif ne peut que rester juif, et agir en juif, quoiqu’il fasse, même si il donne l’apparence de s’opposer au judaïsme.
Quiconque a étudié le marxisme et l’univers communiste découvre une filiation évidente entre le marxisme et sa concrétisation; l’univers communiste, et le judaïsme. Le caractère commun le plus facile à mettre en évidence entre judaïsme et communisme, est l’utilisation du conditionnement à la haine, à l’exécration envers ceux qui sont désignés comme les ennemis, ennemis envers lesquels tout est permis, même les pires sévices. Les ennemis dans le judaïsme et le communisme, sont déshumanisés.
On retrouve de même chez les gens de gauche et d’extrême gauche, qui pourchassent les révisionnistes, ce trait de caractère façonné par un conditionnement à haïr, à exécrer.
Hors, exécrer n’est guère plus qu’excréter son propre venin hors de soi-même sur autrui, pour qu’il ne finisse pas par vous étouffer, par vous noyer, par vous empoisonner vous-même. C’est faire mourir autrui à la place de soi-même, en se libérant de ce qu’on porte en soi-même de mortifère, et en le lui imposant.
Ceux qui haïssent, qui exècrent, doivent inventer des monstres encore pires qu’eux-mêmes, pour paraître relativement à ces monstres, innocents, en leur communiquant leur propre venin. Les monstres ainsi créés par les haïsseurs juifs ou sionistes, sont des réceptacles à leur venin.
C’est la raison de la transformation en monstres absolus, opérée par les marxistes, socialistes, communistes, trotskistes et les sionistes, des nazis, et de ceux qui refusent de se laisser aveugler par cette haine rendu obligatoire, rendue même légalement obligatoire, soit les révisionnistes, qu’on prive même de leur nom usuel, pour les dénommer négationnistes, allant ainsi jusqu’à leur dénier tout rattachement à un courant d’idées banal en histoire, le révisionnisme, comme si c’était une manière de les couper de l’humain, de les déshumaniser, révisionnistes ou négationnistes à qui on reproche en réalité de casser le processus d’innocentement des marxistes et des sionistes, de priver les haïsseurs de leur réceptacle à poison.
Concernant les criminels sionistes, il est probable qu’ils seront même prêts à organiser pour sauvegarder leur métamorphose en victime,
un réel Holocauste juif, en sacrifiant la majeure partie de la population juive mondiale s’il le faut, quand le mensonge de l’Holocauste nazi tombera, ce qui ne devrait pas tarder, car est en train de tomber le mensonge des attentats islamistes du 11 septembre 2001, et quand on commence à dévider la pelote du mensonge, on ne sait jamais quand cela s’arrêtera.
Il est visible pour tous maintenant que les dirigeants juifs ou sionistes sont parvenus au sommet mondial de la pyramide d’exploitation de l’humanité, et c’est pour se blanchir de cette réalité de criminel suprême, qu’ils devront exterminer, cette fois pour de vrai, s’il le faut, le quasi totalité des juifs de par le monde.
Annexe :
1 – « Un seul Etat pour tous ».
Appel à soutien de Ginette Hess Skandrani, victime d’agression par la racaille sioniste.
AGRESSION SIONISTE A DOMICILE : CITATION A PARTIE CIVILE
Je suis invitée en qualité de partie civile dans l’affaire concernant Jordan Benamou, un de mes deux agresseurs qui s’étaient introduits à mon domicile le 25 octobre 2006 afin de me tabasser violemment avec des casques. Il était mineur à l’époque des faits, ce qui fait qu’il sera jugé au tribunal pour enfants, en l’occurrence, à l’audience correctionnelle du Tribunal pour enfants de Paris 25è chambre -escalier Y , rez- de- chaussée le 18 novembre 2008 à 9 heures au Palais de Justice 4bd du Palais 75001 Paris
Le jugement de mon autre agresseur aura lieu plus tard, selon mon avocat, Mtre Missamou.
Les deux autres, ceux qui s’étaient occupés de la surveillance des lieux, sont en fuite en Israël et ne peuvent être extradés
J’espère que vous serez nombreux à me soutenir
ci-joint : les noms et adresses de mes agresseurs
Ginette Hess Skandrani
Paris, 5 septembre 2008
Ginette Hess Skandrani agressée à son domicile !
« Tu sais pourquoi on est là »
Collectif, 31 octobre 2006
Témoignage
« Tu sais pourquoi on est là » : Agression à domicile
Par Ginette Hess Skandrani, Paris, 30 octobre 2006
Ce mercredi 25 octobre à 17h45, lorsque j’ai ouvert ma porte, croyant que c’était ma petite-fille qui rentrait à la maison, je me suis trouvée devant deux jeunes mecs tout de noir vêtus avec des casques à la main qui m’ont dit : « Nous sommes les petits-enfants de Martin, du deuxième ». J’ai essayé de repousser la porte, mais ils se sont précipités sur moi en me cognant avec les casques et en me donnant des coups de pied.
Mes lunettes sont tombées et se son brisées, et j’ai été aveuglée par le sang qui pissait à travers ma paupière éclatée. J’ai crié tant que j’ai pu, mais ils ont continué à frapper pendant cinq minutes en me jetant par terre et en renversant un banc et une chaise.
Ils étaient d’une extrême violence et je ne pensais pas m’en sortir vivante.
Il y avait du sang partout car j’étais également blessée à la tête, suite à un coup de casque.
J’ai tout de suite pensé au BETAR (groupe paramilitaire juif) ou à la Ligue de défense juive, car ils sont coutumiers de ce genre d’agressions, soit dans les manifestations de solidarité avec les Palestiniens, soit dans les salles de réunion ou dans les couloirs des tribunaux. Plusieurs personnes ont été grièvement blessées par eux, certaines ayant subi des traumatismes très graves, sans oublier le commissaire de police poignardé place de la Bastille. J’ai souvent eu à faire à eux et je connais leurs pratiques. D’ailleurs l’un des deux a crié : « Tu sais pourquoi on est là ».
Ils se sont enfuis car des portes commençaient à s’ouvrir suite à mes cris. La concierge a appelé la police.
J’habite au troisième étage d’un immeuble avec digicode. J’ai appris par la police judiciaire, que selon la concierge, ils étaient quatre, deux qui sont rentrés derrière elle en lui proposant de porter ses courses et deux autres qui sont restés en faction dans le couloir extérieur, entre le portail d’entrée et la porte vitrée intérieure.
Ils savaient où je logeais car ils sont immédiatement montés à mon étage en courant.
J’ai pu les décrire à la police : environ 25 à 28 ans, assez grands, des cheveux noirs courts, portant des blousons de cuir noir, de type européen mais de peau un peu hâlée. Et ressemblant à des séfarades de Belleville.
La police a pris des empreintes digitales sur la porte et dans l’appartement. Elle a également pris des photos, mais je ne sais pas si ça va servir à les retrouver.
La police a prévenu les pompiers qui m’ont amené à l’hôpital Saint-Antoine. J’ai eu des points de suture sur la paupière gauche, ainsi qu’à l’arrière du crâne. Mon oeil était complètement fermé et j’ai des contusions sur tout le corps.
Lorsque j’ai été reconduite chez moi, des policiers m’ont emmené à la 2è DPJ où j’ai porté plainte contre X pour violences volontaires en
réunion et avec arme par destination et violation de domicile.
La procédure a été enregistrée sous le n° 2006/J/ 1510, par M. Bruno Jacquel, capitaine de police de la 2è DPJ. Les policiers m’ont emmené à l’hôpital de l’Hôtel Dieu aux urgences médico-judiciaires pour constituer un dossier médico-légal de mes blessures physiques et de leur retentissement psychologique qui porte le n° 0627830.
J’ai été convoquée à la permanence criminelle, groupe » GESSET » de la 2è DPJ le lendemain, 26.10 à 16 heures par M. l’officier de Police judiciaire Tanchon qui m’a auditionnée pendant plus de deux heures et a réenregistré ma plainte, sous le n° de dossier 200.
J’attends la suite en espérant qu’ils n’étoufferont pas l’affaire
Communiqués
Une lâche agression contre notre présidente, Ginette Hess Skandrani
Communiqué le 26 octobre 2006 par l’Alliance zapatiste de libération sociale, [email protected], http://www.azlsbasta.splinder.com, ++33(0)613992886
La présidente-fondatrice de notre association, l’AZLS, a été victime, le mercredi 25 octobre en soirée, d’une lâche agression à son domicile parisien de la part de deux jeunes hommes armés de casques qui étaient de toute apparence des nervis sionistes. Amenée à l’hôpital Saint-Antoine, Ginette a reçu des points de suture à l’arcade sourcilière et au cuir chevelu.
Cette lâche agression intervient quelques jours avant une rencontre pacifique pour la Palestine organisée samedi 28 octobre à 15 heures à la Fontaine des Innocents par l’AZLS avec d’autres associations, comme chaque dernier samedi du mois.
L’AZLS demande solennellement aux autorités françaises de tout faire pour que cesse la terreur organisée par des groupes sionistes ayant
depuis longtemps franchi les limites de la légalité républicaine.
La France ne doit pas devenir un « territoire occupé » par les partisans du suprématisme juif, qui mettent en danger la coexistence des citoyens et le droit des gens non seulement à la libre expression mais, tout simplement, à la vie.
Pour l’AZLS, le trésorier, Fausto Giudice
Ginette Skandrani, membre fondatrice des Verts, lâchement agressée à son domicile par deux nervis de type sépharade : plusieurs points de suture à l’arcade sourcilière et au cuir chevelu
Communiqué le 26 octobre 2006 par le Collectif de la Communauté Tunisienne en Europe, 1 rue Cassini, 75014 Paris – Tél. : +33 (0)1 43 29 68 98
C’est vers 19h de ce mercredi 25 octobre que deux jeunes sont venus pour aider la concierge de l’immeuble où habite Ginette Skandrani,
membre fondatrice des Verts, au moment où elle entrait les poubelles.
Ils se sont engouffrés aussitôt dans les escaliers, et ont frappé à la porte de Mme Skandrani, qui leur a ouvert la porte sans se méfier. Ils
se sont rués sur elle pour la rouer de coups de pied et à l’aide de leurs casques, puis ils se sont enfuis. La concierge alertée par les
cris a aussitôt appelé les pompiers et la police. Elle a été amenée aux urgences de l’Hôpital Saint Antoine, puis à l’Hôtel Dieu pour un examen médico-légal.
Notre Collectif dénonce avec la plus grande colère cette lâche agression contre Mme Ginette Skandrani qui a consacré sa vie pour de
justes causes : l’écologie, la solidarité avec les peuples du Maghreb, mais aussi pour faire connaître la tragédie palestinienne, notamment en co-organisant avec plusieurs associations dont la nôtre, les derniers samedis de chaque mois des rassemblements au Châtelet à la Fontaine des Innocents pour dénoncer le génocide actuel du peuple palestinien, et pour appeler à la création en terre de Palestine d’un seul État pour tous.
Cette agression perpétrée par des sionistes vise à faire taire les rares voix en France qui s’élèvent contre le massacre quotidien des Palestiniens.
Notre Collectif exprime son entière solidarité et sa sympathie avec Ginette Skandrani, et appelle tous ceux qui militent pour la cause
palestinienne à lui exprimer publiquement leur soutien pour son combat contre le sionisme et ses crimes contre les Palestiniens.
Nous lançons un appel aux autorités françaises à mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour retrouver les agresseurs et mettre fin à la terreur exercée en toute impunité par des ligues factieuses en France contre toute personne critique de l’entité sioniste.
Fait à Paris, le 25 octobre 2006
Le Président, Mondher Sfar
Agression sioniste à domicile
Communiqué par l’association Entre la Plume et l’Enclume, Paris, 26 octobre 2006 – [email protected]
L’association Entre la Plume et l’Enclume se joint aux associations ci-dessus pour dénoncer les agressions physiques répétées contre notre amie la courageuse militante Ginette Hess Skandrani; rappelons qu’elle fait partie de la liste menacée de mort par le collectionneur d’armes à feu interdites et « chasseur de nuisibles » sans permis de chasse, parfaitement libre à ce jour, Guy Raphaël Schoeman, qui invoque le judaïsme pour revendiquer le droit de faire ses « canulars » assaisonnés de balles 22 long rifle. Ne serait-il pas temps que toutes les personnes qui se prétendent victimes de fatwas en France expriment leur solidarité?
Défendre l’égalité des droits pour tous les habitants de la Palestine historique, revendiquer l’égalité de tous les Français devant la loi, se battre pour une réelle liberté de pensée et d’expression, trois facettes d’un même combat!
Pour le secrétariat, Maria Poumier
Communiqué de l’Institut Tunisien des Relations Internationales
Par Ahmed Manaï, Paris 26 Octobre 2006
Ginette Hess Skandrani, présidente fondatrice de l’Alliance Zapatiste de libération sociale et de l’association La Pierre et l’Olivier en soutien au peuple Palestinien, a été victime, le mercredi 25 octobre en soirée, d’une lâche agression à son domicile parisien de la part de deux jeunes hommes, armés de casques, qu’il ne sera pas difficile à la police d’identifier tant leurs motifs sont connus.
Aucun doute que les agresseurs de Ginette ont voulu lui faire payer son engagement inconditionnel et son soutien de tous les instants à la
cause du peuple Palestinien. Rappelons que Ginette avait reçu en 2003, en même temps qu’un certain nombre de militants pro- palestiniens, entre autres notre compatriote Mondher Sfar, une lettre contenant une balle, accompagné du message suivant « la prochaine ne vous parviendra pas par la poste ». L’apprenti terroriste, un dénommé Shoemann, a été condamné à 6 mois de prison avec sursis !
Transportée à l’hôpital Saint-Antoine, Ginette a reçu des points de suture à l’arcade sourcilière et au cuir chevelu.
Durant ces quarante dernières années, Ginette Hess Skandrani a accompagné tous les combats anti-coloniaux et s’est illustrée au cours des années 1990 par un soutien actif et permanent à l’opposition tunisienne. L’Azls qu’elle préside a organisé en 1997, les deux premières manifestations publiques à Paris, contre le régime tunisien (voir texte).
L’ITRI condamne cette agression et ses lâches auteurs, exprime son soutien et son entière solidarité avec Ginette Skandrani et appelle les Tunisiens à lui manifester leur solidarité : [email protected]
Lettre ouverte
Questions de principe, questions pratiques, questions vitales
30 octobre 2006
Ginette Hess Skandrani est une femme de 67 ans. Elle est, par tempérament et par conviction, non-violente.
Elle ne dispose, pour se protéger, ni d’armes ni de gardes du corps ni d’escorte policière.
Elle est une militante engagée dans le combat anticolonialiste depuis cinquante ans. Depuis quarante ans, elle défend le droit naturel du peuple palestinien à la souveraineté et à la vie. Elle est partisane de la seule solution qui semble logique à la situation coloniale de la Palestine : la création d’un seul État pour tous les habitants de la Terre sainte, sur la base du principe universel : « Une personne, une voix ».
Elle est victime depuis de longues années d’une campagne de dénigrement et de diffamation émanant de diverses composantes, de « droite » comme de « gauche », de la nébuleuse des partisans de l’État d’Israël comme « État juif ». Cette campagne a été ponctuée
par des agressions physiques, des menaces de mort verbales, écrites, téléphoniques ou électroniques, des piratages informatiques, des mises sur écoute téléphonique « sauvage », des cambriolages et des « filatures ».
Mercredi 25 octobre, la campagne a atteint un nouveau palier : un commando de quatre hommes l’a agressée à son domicile parisien, dans une action préméditée et concertée. Pendant que deux membres du commando s’acharnaient sur elle, au risque de la
tuer ou de la rendre irrémédiablement invalide, deux autres membres faisaient le guet au pied de l’immeuble.
Ces hommes n’ont pas agi de leur propre initiative : ils ont reçu des ordres, qu’ils ont exécutés en bons petits soldats. Ces hommes sont en effet des citoyens français et israéliens, soldats d’active ou de réserve de l’armée israélienne, agissant sur ordre.
Les ordres viennent d’organisations qui, sous couvert de respectabilité et de représentativité, ne sont que des officines établies en France d’une puissance non seulement étrangère mais de surcroît hostile aux valeurs françaises et aux principes qui fondent notre république.
Cette grave atteinte au droit à la vie et à la sécurité d’une militante infatigable de la cause humaine nous amène à poser un certain nombre de questions à tous ceux qu’elle devrait interpeller.
Nous précisons que nous nous exprimons à titre personnel, en tant qu’amis, frères, sœurs de Ginette Hess Skandrani. Certains d’entre nous ont été victimes des mêmes campagnes de dénigrement et de menaces qu’elle, du fait de leurs engagements.
Question au gouvernement :
Vous avez interdit il y a quelques mois la tribu Ka, une organisation de jeunes Noirs révolutionnaires, par un décret d’application de la loi de 1936 sur les ligues factieuses. Or, cette Tribu Ka, quelle que soit l’appréciation que l’on puisse porter sur ses idées et opinions, ne s’était rendue coupable d’aucun crime ou délit, d’aucun acte de violence ni contre des biens ni contre des personnes. Qu’attendez-vous pour dissoudre, en application du même décret, les deux organisations armées qui se sont rendues coupables d’une série de crimes et délits, dont la tentative de meurtre sur un commissaire de police, et dans les rangs desquelles il faut chercher les agresseurs de Ginette Hess Skandrani ? Attendez-vous donc qu’il y ait mort d’homme – ou de femme – pour interdire la Ligue de défense juive et le Bêtar-Tagar ?
Question au ministre de l’Intérieur :
Qu’envisagez-vous de faire pour assurer la protection et la liberté de déplacement des personnes visées par ces organisations subversives ? Estimez-vous que ces personnes doivent, faute de protection par la république, s’armer et prendre en charge leur propre défense ?
Question aux défenseurs des droits humains :
Vous avez pour l’instant observé un silence prudent sur l’agression dont a été victime Ginette Hess Skandrani. Cela veut-il dire que vous approuvez cette agression ? Dans ce cas, il faudra vous en expliquer publiquement.
Question aux défenseurs du « droit à l’existence d’Israël » :
Certains d’entre vous ont proféré, répété ou répandu des calomnies contre Ginette Hess Skandrani. Cela a contribué de manière déterminante au climat qui aboutit à l’agression du 25 octobre. Approuvez-vous cette agression ? Si oui, expliquez-nous pourquoi. Si non, faites-le savoir haut et fort.
Tout un chacun comprendra que la réponse à ces questions de la part de ceux que nous interpellons aujourd’hui sera déterminante pour empêcher la dérive violente et sectaire dans laquelle veulent nous entraîner les partisans du suprématisme d’un groupe sur l’ensemble de la société.
Les petites frappes qui ont exécuté l’ordre de tabasser Ginette Hess Skandrani ne sont que des robots programmés et manipulés pour faire mal. Nous n’avons pour eux que mépris et commisération et nous laissons à la justice et à la police le soin de les mettre hors d’état de nuire. Nous n’avons en effet aucune vocation à créer une milice de justiciers. Mais nous ne saurions tolérer le silence et l’inaction de
tous ceux qui prétendent lutter pour la liberté, la démocratie et la justice. Car ce silence et cette inaction vaudraient complicité.
Premiers signataires :
Association entre la plume et l’enclume, France
– Santiago Alba Rico, écrivain, Espagne
– Claire Aymes, Citoyenne, Marseille
– Janine Borel, militante, Bouches-du-Rhône
– Comité de lutte contre la barbarie et l’arbitraire, Salons-de-Provence
– Mireille Delamarre, responsable de publication www.planetenonviolence.org, présidente de Vpaixmed (Voix de paix en Mediterranée, association pour la non violence active et le respect des droits de l’homme), Bouches-du-Rhône
– Jean-Jacques Dikongué, journaliste, Paris
– Gabriel Enkiri, candidat au 1er tour de la Présidentielle 2007
– Sinfo Fernández, sociologue, traductrice de rebelion.org, Espagne
-Houcine Ghali, Centre d’études et de recherches arabes, Genève(Suisse)
– Fausto Giudice, journaliste, écrivain, traducteur, trésorier de l’Alliance zapatiste de libération sociale, président du Collectif guantánamo France, président des éditions Karkashuna, membre de l’Association pour un seul État démocratique en Palestine/Israël
– Michel Guérin, écrivain, Jura – René HAMM, journaliste indépendant, (Bas-Rhin)
– Monica Hostettler, militante suisse
– Douraid Houalla, Tarn-et-Garonne
– Amal Lahoucine, association Taroudant sociale et culturelle, Maroc –Jean Lambert et Isabelle Leroy, Association Imagine la Paix
– Ahmed Manai, Institut tunisien des relations internationales
– Jean-Claude Manifacier, professeur, Université des Sciences, Montpellier
– Sonia Martínez Icardo, journaliste, Valencia, Espagne
– Rachid Mesli, avocat, président de Justitia Universalis, Genève (Suisse)
– Michèle Mialane, enseignante, Essonne – Gisèle Moulié, retraitée de la Poste
– Guillermo F. Parodi, professeur d’université, Paraguay – Robert Pioche
– Maria Poumier, enseignante retraitée, Ile-de-France
– Joss Rovélas, militant associatif
-Mondher Sfar, éditeur, Paris
– Manuel Talens, écrivain, Espagne Paloma Valverde, traductrice, Espagne
– Évelyne Vieux-Combes, militante SUD PTT
Envoyer vos signatures à [email protected]
Message d’Argentine aux agresseurs de Ginette
Par Oscar Abudara Bini, psychiatre, psychanalyste, et cinéaste censuré à cause de de son enquête personnelle sur les attentats terroristes commis en Argentine en 1992 et 1994
Toutes mes félicitations!
J’imagine que vous vous êtes entraînés sérieusement pour attaquer un ennemi aussi important. Moi même, j’ai dû m’exercer aux arts martiaux et au maniement des armes à feu, parce que j’ai peur de me faire assassiner ou qu’on agresse mes enfants, dans la mesure où je fais des recherches [qui dérangent] en Argentine sur les attentats terroristes qui ont été commis ici [imputés officiellement à l’Iran, alors que TOUS les éléments matériels de l’enquête signalent une piste conjointe US- ISRAELIENNE] Je sais qu’on peut me tirer une balle dessus à tout moment, que je risque l’enlèvement et que l’on peut envoyer des gros bras me taper dessus. Je suis prêt pour tout cela, et j’ai de bonnes chances d’être perdant. Mais je ne me suis jamais entraîné pour taper sur une femme, encore moins pour frapper, savater et blesser une femme d’un certain âge. Auriez-vous l’amabilité de m’indiquer le mode d’emploi? Quel est le religieux qui pourrait m’apprendre à piétiner toute ma formation de macho latin, celle-la même qui m’interdit de frapper une femme parfaitement honorable? Allez, messieurs les agresseurs de Ginette, vous voulez bien m’apprendre?
Source : http://www.azlsbasta.splinder.com
Vendredi 05 Septembre 2008
2 – « Pour une paix juste au Proche-Orient ».
Collectif des magistrats et professeurs de droit
Nous avocats, magistrats et professeurs de droit, qui avons signé l’appel Pour une Paix Juste au Proche-Orient, avons décidé de constituer un collectif, afin de venir en aide à nos confrères palestiniens et israéliens qui luttent avec courage sur place contre les violations des droits de l’homme et les crimes de guerre, et nous appellent à leur secours.
L’Etat d’Israël se refusant à respecter les Conventions de Genève et les résolutions de l’ONU, en envoyant son armée occuper les villes palestiniennes et y commettre de graves exactions, nous avons le devoir d’intervenir.
Nous condamnons les exécutions sommaires, les emprisonnements d’enfants, les tortures lors d’interrogatoires, les pillages, l’usage de tanks contre les populations civiles, l’interdiction faite aux ambulances et aux médecins de porter secours aux blessés, la destruction systématique des infrastructures urbaines, notamment des canalisations d’eau et des installations électriques, et toutes les » infractions graves » aux dispositions de la 4ème Convention de Genève, également nommées » crimes de guerre « , actuellement commises dans les territoires palestiniens occupés par l’armée israélienne.
La Convention contre la Torture, incorporée au droit pénal français, nous permet de poursuivre devant des tribunaux français ceux qui l’enfreignent, mais nous n’hésiterons pas à saisir également les juridictions européennes pour tous les cas de violations du droit humanitaire international et crimes de guerre qui nous seront soumis par nos confrères palestiniens et israéliens.
Nous comptons à cet effet coopérer avec tous les professionnels du droit de l’Union Européenne, qui partagent nos préoccupations face à ces atteintes intolérables au droit humanitaire international.
Premiers signataires : Antoine Comte, Monique Chemillier- Gendreau, Nicole Dreyfus, Géraud de La Pradelle, Christiane Gillmann, Philippe Texier, Jean-Paul Chagnollaud, Francis Jacob, Daniel Voguet, Gisèle Halimi, Monique Brioudes, Albert Goldberg, Marie-Anne
Levitan, Sophie Thonon, Habib Khemiri, Henri Choukroun, Benjamin Demagny, Christine Martineau, Majid Bouden, Dominique Assi, Marc Portehaut, Saad El Jord, Bertrand Horiot, Michèle Poulet-Portehaut, Rachida haddaoui, Nicole Talon-Montorcier, Dominique Tricaud, Aïcha Ansar-Rachidi, Jean-Louis Chalanset, Habib Gherari, Marie Mazingue, Dalal Loghlam, Maurice Buttin, Jamil Younes, Caroline Mecary, Geneviève Touati, Robert Charvin, Raphaël Benarrosh, Nuri Albala, Roland Weyl, Monique Weyl, Elvire Cheron, Delphine Dreset, Franceline Lepany, Agnès Tricoire, Camille Mansour, Philippe Mouraux, Nguyen Van Than, Dominique Rousseau, Halil Uysal, Edwige Rude-Antoine, Alexis Mourre, François Belloire, Maxime Simonnet, Chahine Hirmanpour, Jean-Maurice Verdier, Mustapha Jallal, Nathalie Creuzillet, Martine Abid, Vincent Robeyns, Jean-Jacques de Felice, Irène Terrel, William Bourdon, Jackson Benson, Véronique Gagey-Dandrel, France Bureau-Pousson, Abderrezak Boudjelti, Stephane Corone, Catherine Peyre, Marie-Louise Mégrelis, Nathalie Renard, Françoise Cotta , Gérard Soulier, Véronique Proix, Driss El Karkouri, François Nativi, Mohamed Loukil, Catherine Chaudot, Hélène Rousseau, Nadine Rey, Nada Serra-Abouzeid, Sylvain Dreyfus, Jean L. de Grandcourt, Carmen Lapouzade, Bernard Prudhon, Laure Courtin, Anne Brémaud, Louis d’Urzo, Zohra Mahi, Paulette Giraud, Jean Veyssière.
Contact : Olivia Zémor (06 80 88 71 54)