Maroc occupé: Les Grands dossiers du Maroc (Partie VI
Du nouveau dans l’affaire Benbarka : L’assassinat de Mehdi Benbarka »Hassan II est innocent »
Les journalistes Marocains et surtout ceux de la presse libre s’acharnent sur le régime
marocains en l’impliquant directement dans l’affaire Mehdi Benbarka oubliant la
citation des sages qui dit: »quand t-ils ont inventé le mensonge on a
inventé l’histoire »la question du mensonge. … Le mensonge paraît
répréhensible en tant qu’énoncé et non comme acte : mentir pour obtenir quelque
… pire que le demander » normalement « . Mais le mensonge n’est pas
seulement un …acte mais un crime contre tout une nation…et voila des
question pour nos journalistes…vous savez que ben barka avait disparu le 29 octobre 1965,
en plein Paris par des anciens colons juifs qu’on vient d’apprendre dernièrement
par un journaliste sous la torture par ceux qui ont assassiné Benbarka et qui
lui ont fait cet aveu, ces derniers se trouvent à la délégation provençiale hay
mohammadi et casa-anfa dirigés par les nommés Senhaji abdelaal, senhaji
abdelwahid, Raoul yacoubi, Othmani et zemmrani, Cette affaire
retentissante, impliquant autorités marocaines et policiers français, qui y
avait contribué ..mais la vérité et c’est le contraire car en 1965 les services
secrets du Maroc étaient incapable ni par compétences qui lui manquaient sûrement
car le pays était à peine sortie du régime coloniale et ses services n’avaient même
pas les moyens ni l’expérience dans le domaine car le service secret du Maroc
se baser dans le temps sur une simple politique celle du battons et la carotte
(sans autre compétence, et ses agents profite du manque d’impunité ) alors ils
étaient incapable de mener une assez grande opération en françe …c’est vraie
que les mains marocaines étaient présente d’une façon claire et stupide comme
si tout est organiser pour les montrer du doits? C’était des truands de SDECEE
de Casablanca qui se sont déplacés en France pour assassiner Benbarka.
On voulait sûrement se débarrasser
de Mehdi benbarka en collant l’affaire au Maroc et son régime alors que
Benbarka était anti-colonialiste.comme les hommes dont les noms étaient cité au PV des
juges étaient indignes de confiance même du roi Hassan II et que meme
certains d’eux a voulu renversser le régime car ils se croyaient protéger par
des puissances étrangères et même si dans la version ont trouve le suivant’
( Le plus illustre
opposant marocain en exil, Mehdi Ben Barka, dont la famille vient d’obtenir des
papiers pour pouvoir enfin retourner au Maroc, avait disparu le 29 octobre 1965,
en plein Paris. Cette affaire retentissante, impliquant autorités marocaines et
policiers français, avait contribué à ternir le règne du roi Hassan II, décédé
en juillet dernier. Celle-ci n’a jamais été totalement élucidée, malgré deux
instructions judiciaires en France. Ce vendredi-là, Mehdi Ben Barka a
rendez-vous devant la brasserie Lipp, Boulevard Saint-Germain à Paris, avec un
journaliste et un cinéaste, qui envisagent un film sur la décolonisation. Il
est 12h15. Deux policiers
de la brigade mondaine, Louis Souchon et Roger Voitot, exhibant leur carte,
invitent Ben Barka à monter à bord d’une voiture, où se trouve également
Antoine Lopez, un agent des services du contre-espionnage français. Il est
conduit à Fontenay-le-Vicomte (Essonne), dans la villa d’une figure du milieu,
Georges Boucheseiche. Dès lors, on perd sa trace. Nul ne reverra vivant le
principal dirigeant de l’Union des Forces Populaires du Maroc, condamné à mort
par contumace par la justice marocaine, et son corps ne sera jamais retrouvé (liquéfié
à l’acide).
« Coïncidence : le général
Mohamed Oufkir, ministre marocain de l’Intérieur, Ahmed Dlimi, directeur de la
sûreté nationale marocaine, et un certain Chtouki, chef des brigades spéciales
marocaines, se trouvaient à Paris à ce moment-là. Cette affaire soulève en
pleine campagne électorale en France l’indignation des milieux politiques français,
notamment l’opposition de gauche, François Mitterrand en tête. Le chef de
l’Etat, le général de Gaulle, dans une conférence de presse du 22 février 1966,
minimise la part des services secrets français et fait porter toute la
responsabilité sur le général Oufkir. Plus tard, un repris de justice, Georges
Figon, affirmera avoir vu Oufkir tuer l’opposant marocain avec un poignard
décroché d’une panoplie dans la villa. L’instruction judiciaire, menée par le
juge Louis Zollinger, aboutit à l’inculpation de treize personnes dont le
général Mohamed Oufkir, Ahmed Dlimi, Marcel Leroy-Finville, un des responsables
du SDECE (les services secrets français d’alors), Antoine Lopez et Georges
Figon. Un premier procès s’ouvre le 5 septembre 1966. Six accusés sur treize sont
dans le box. Les sept autres, dont Oufkir, Dlimi et Boucheseiche, font défaut.
Deux coups de théâtre relancent l’affaire : d’une part l’un des accusés, Figon,
est retrouvé mort à Paris et l’enquête conclura à un suicide. D’autre part,
Dlimi se constitue prisonnier.
Un second procès
s’ouvre le 17 avril
1967 en l’absence de la famille Ben Barka, retirée des débats après
le décès subit de ses principaux avocats. Le verdict du 5 juin 1967 acquitte Dlimi et
les protagonistes français, à l’exception de Lopez et Souchon, condamnés
respectivement à huit et six ans de prison. Mohamed Oufkir, désigné par la
justice comme le grand responsable de la disparition de Ben Barka, est condamné
par contumace à la réclusion à perpétuité. La condamnation par la justice
française d’un ministre étranger en exercice, fait sans précédent dans le droit
international, devait provoquer le gel des relations franco-marocaines pendant
deux ans. »
Mehdi ben barka ne menace
pas le régime Hassan II mais la réussite de son congréé donnera une
indépendance politique et économiques à trois continents ce qui mettra en
danger les puissances coloniales et étrangères « »les services secrets
compétents dans le temps étaient des quatre pays dérigeant le monde1/CIA 2/
moussade3/ dgse4 les services secrets britanniques…mais qui d’entre eux
menace Benbarka « peut être aucun d’eux …?et si Benbarka revenu dans le
temps aux Maroc ils n’aura sûrement pas menacer le pouvoir car Hassan
II et si puissant ..Mais il menacera peut être des politiciens qui
voudraient s’emparer du pouvoir qui sont-ils? Les journalistes n’avaient sûrement
pas posé la question.
Ceux qui
doivent aussi être accusés de l’assassinat de Benbarka se trouvent à la
délégation provençiale hay mohammadi et casa-anfa et ne sont pas encore
découverts par les autorités marocaines.
Dé classification ou
non de l’affaire :
Paris s’est enfin
résolu à « déclassifier » les documents relatifs à l’assassinat de l’opposant
marocain, en 1965. Va-t-on enfin connaître la vérité ? Rien n’est moins sûr.
Va-t-on enfin connaître la vérité sur l’affaire Ben Barka ? Le leader de la
gauche marocaine a été enlevé en plein centre de Paris le 29 octobre 1965. On a su
que le kidnapping déguisé en interpellation a été opéré par des policiers
français et que l’opposant a été conduit ensuite dans la villa d’un truand
située à Fontenay-le-comte. On a appris encore que le général Mohamed Oufkir,
ministre de l’Intérieur marocain, et le colonel Ahmed Dlimi, directeur de la
sûreté, sont arrivés à Paris avant de rejoindre cette même villa.
Mais on n’a jamais été fixé sur le sort de
Mehdi Ben Barka.
Si l’homme probablement a été tué, jamais sa dépouille n’a été
retrouvée. Tout au long de ces trente-neuf années, l’affaire Ben Barka a
inspiré des articles innombrables, plusieurs films, des livres multiples, dont
certains essaient honnêtement de dissiper les mystères et d’autres se soucient
peu de la manifestation de la vérité, quand ils ne cherchent pas à brouiller
les pistes. Si bien que nul, aujourd’hui, ne peut affirmer – et surtout prouver-
ce qu’est devenu Mehdi Ben Barka.
C’est dire à quel point est cruciale la décision prise le 14 octobre par
Michèle Alliot-Marie, la ministre française de
la Défense, de déclassifier la totalité du
dossier de l’affaire. En 1982, sous le gouvernement de Pierre Mauroy, puis en
1999, sous celui d’un autre Premier ministre socialiste, Lionel Jospin, on
avait procédé à une dé classification partielle dès lors qu’elle ne portait pas
atteinte à la « sécurité nationale ». La droite se montre donc moins frileuse,
et Claude Choquet, le juge d’instruction, va avoir du pain sur la planche.
Selon Me Maurice Buttin, l’avocat de la famille Ben Barka, il devrait entamer
rapidement l’examen des précieux documents. Après quoi ceux-ci seront à la
disposition de la partie civile.
Toutes les grandes interrogations liées à l’affaire Ben Barka, et
qui ont donné lieu à des déductions et spéculations nourries davantage par
l’imagination que par des faits avérés, devraient en principe trouver réponse.
Mais avant de les aborder, une question s’impose : pourquoi la France a-t-elle
décidé de rouvrir l’affaire Ben Barka ? Il va de soi qu’une telle initiative
n’a pu être prise sans l’assentiment du président de la République, et rien,
dans l’Hexagone, ne semblait faire pression en ce sens. Les relations entre la France et le Maroc, et
singulièrement entre Jacques Chirac et Mohammed VI, étant ce qu’elles sont –
excellentes -, on n’imagine pas que Paris puisse exhumer un dossier susceptible
de porter ombrage au royaume.
Faut-il croire que c’est du côté marocain que les choses ont bougé
? Il est clair que, depuis cinq ans, le successeur de Hassan II, invoquant un
droit d’inventaire, n’entend pas assumer la totalité de l’héritage de son père.
Suscitant le retour au pays de la famille Ben Barka, il lui a fait dire qu’il
n’avait jamais été dépositaire du moindre secret sur cette affaire. À
l’initiative du Palais, la Commission Équité et Réconciliation, qu’anime un
ancien prisonnier politique, traite en toute liberté et dans la transparence
les questions relatives aux droits de l’homme depuis l’indépendance. Comme il a
clos l’affaire du fameux bagne de Tazmamart, le roi ne serait sans doute pas
mécontent de solder l’affaire Ben Barka. Mais il sait jusqu’où ne pas aller
trop loin. À trop s’attaquer au règne de Hassan II, on risque de mettre en
cause les fondements mêmes de la monarchie et, partant, du pouvoir de l’actuel
roi.
Mais la vérité, toute la vérité, sur l’affaire Ben Barka est-elle
nécessairement et fatalement en défaveur du Maroc ? Les révélations que la dé
classification risque de provoquer ne vont-elles pas placer l’affaire sous un
jour nouveau qui obligera à un réexamen de certains de ses aspects ? On sait
beaucoup de choses sur l’enlèvement de l’opposant marocain. On en ignore aussi
beaucoup – et sans doute davantage. Les conclusions, en apparence évidentes,
que l’on a été amené à tirer pourraient s’effondrer, comme dans À chacun sa
vérité, la pièce de Pirandello.
L’affaire Ben Barka fait penser à un embouteillage en plein
carrefour. Plusieurs services de différents États s’y trouvent bloqués. Ils
viennent d’horizons divers et ne vont pas nécessairement dans la même
direction. Certains ont pu éviter la cohue et se dégager rapidement. Comme
s’ils n’avaient jamais été là…
À première vue, la France occupe la place
principale. Dès son arrivée à Paris, le 29 octobre, en provenance de Genève,
Ben Barka a été pris en charge par des policiers français appartenant à
différents services. Aucun doute, la responsabilité de la France est
engagée à un très haut niveau.
Celle du Maroc est notamment illustrée par l’arrivée, dans la
précipitation, d’Oufkir et de Dlimi. Mais à travers le développement politique
de l’« affaire », l’instruction judiciaire et enfin le procès, on assiste à une
distribution des rôles et des responsabilités qui tient compte davantage de la
raison d’État que du respect de la vérité. Le général de Gaulle a tranché en
proclamant que « l’honneur du navire » est sauf et que la responsabilité de
l’État n’a été engagée qu’à « un niveau vulgaire et subalterne ». Hassan II a
royalement accepté de porter le chapeau – ou plutôt le tarbouche. Parce que la
culpabilité du Maroc ne souffre certes aucun doute, mais peut-être aussi pour
obéir à ses propres raisons d’État. La question s’impose ne serait-ce qu’en raison du coup de théâtre
provoqué par Dlimi. On se souvient qu’au cours du procès, le patron de la
police marocaine a fait irruption afin de sauver « l’honneur de son pays ». Il
disait agir à l’insu de son roi. Bien entendu, ce n’était qu’une mise en scène,
mais l’essentiel est ailleurs : alors que les mêmes charges, ou presque, pèsent
sur Oufkir et Dlimi, le premier a été condamné à une peine de prison à
perpétuité, alors que le second était acquitté ! Après cet épisode, comment ne
pas en arriver à la conclusion que la
France et le Maroc avaient décidé de se ménager mutuellement et
de sauvegarder leurs intérêts bien compris ? Tu me tiens, je te tiens par la
barbichette…
Ils n’étaient pourtant pas seuls en cause. Un troisième larron
était tapi dans l’ombre, et son rôle, pour discret qu’il ait été, a peut-être
été essentiel. Il s’agit des États-Unis et de la CIA. À coup sûr, Mehdi Ben
Barka était une cible pour les services de Rabat. En ce temps-là, l’opposition
marocaine militait pour la démocratie, mais pas uniquement par les seuls moyens
démocratiques. Le complot de juillet 1963 n’était
pas une fiction, même si la
répression a précédé le passage à l’acte. L’échec n’avait pas découragé Ben
Barka, qui conservait la possibilité de trouver une base arrière dans l’Algérie
de Ben Bella. Mais ce « commis voyageur de la révolution » (selon le mot de
Jean Lacouture) n’était pas un simple opposant marocain. Il donnait à son
action une dimension planétaire et se proposait, en cette année 1965, d’unifier
les mouvements « anti-impérialistes » d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine.
Après sa disparition, le projet aboutira à la tenue de la Conférence
tricontinentale (La Havane,
janvier 1966). Or cette intrusion quelque peu aventureuse dans leurs
plates-bandes, en plein apogée du guévarisme, n’était pas pour plaire aux
Américains. En clair, Ben Barka était aussi une cible pour la CIA. Plusieurs
indices permettent d’étayer cette hypothèse, mais, autant que l’on sache, nul
ne s’est soucié de consulter sur ce point les archives américaines.
Pour mémoire, mentionnons un quatrième larron : le Mossad israélien,
cantonné, semble-t-il, à un rôle de sous-traitant. Il y a quelques années, deux
journalistes israéliens avaient réussi à glaner des informations plus précises,
mais ils ont dû, raison d’État oblige, les garder pour eux. La revue Bul, qui
avait publié leurs révélations, a été saisie, eux-mêmes ont été mis au secret
avant d’être traduits devant un tribunal militaire israélien, en décembre 1966.
Les mystères de l’affaire Ben
Barka s’expliquent largement par cet extraordinaire enchevêtrement des intérêts
de plusieurs États. Il n’est donc pas certain que la dé classification
autorisée par le gouvernement français permette de répondre aux grandes
questions et de dissiper toutes les zones demeurées obscures. Les deux
précédentes dé classifications partielles n’avaient rien apporté de
significatif. Théoriquement, ce qui a été soustrait jusqu’à présent à la
justice devrait être plus substantiel. Quoique… Michèle Alliot-Marie a
déclaré qu’« on met le tampon secret défense sur trop de choses, probablement ».
C’est peut-être le fin mot de l’affaire et le signe d’une frustration annoncée.
Dans cette enquête, essentiellement basée sur
les révélations de M. Ahmed Boukhari, le nom de OThmani et d’anciens
colons juifs doivent être mentionnés à différentes reprises
et doivent être associés physiquement et directement à la macabre affaire décrète
par M.Boukhari et les truands de SDECEE comme Michel de la délégation
provençiale casa-anfa ,quand il reconstitue à sa façon l’interrogatoire
et les sévices subis par M.Ben Barka dans la nuit du 29 Octobre 1965, dans une
villa de Fontenay-le-comte.
Démagogie, mensonge, fiction, je ne me suis
apposé à personne et je n’ai participé à rien puisque je n’étais pas là
et ce la est facilement vérifiable auprès des autorités françaises avait
déclarer le général DLimi
La réalité des faits que je mentionne vous donne une idée précise de ce que vaut en réalité le témoignage d’ensemble de M.Boukhari et la crédibilité qu’il faut accorder à ses propos qui
sont malheureusement, avec complaisance, pris pour argent comptant.
Ce que M.Boukhari a inventé de toutes pièces sur s’applique à la quasi-totalité de cette « vérité » qu’on voulu livrer avec la plus grande légèreté à l’opinion publique. On ne joue pas avec une telle imprudence et arrogance du destin et de la moralité des individus .
Reste à savoir que Mehdi Benbarka n’était pas anti-royaliste comme on veut le prétendre , mais plutôt anti-colonialiste, et se sont les anciens colons juifs et certains subversifs contre SAM le roi ayant jadis tenter à La vie de feu SAM le roi Mohammed V qui en sont responsables, il s’agit de Othmani, Senhaji abdelaal et Senhaji abdelwahid qui avec zemmrani Mohamed servant les intérêts du Mossad contre Rabat , se trouvent au 63 Boulevard Mohammed V Casablanca Maroc, et ne sont pas encore découverts par les autorités marocaines.
Source: Les Grands dossiers du Maroc
Grands dossiers du subversif Othmani