Répression : La police du nabot s’invite chez un collaborateur du site (ndrl : toutsaufsarkozy.com), à partir d’un article du « Monde » et sur une plainte d’un sioniste lyonnais (encore) !
Ce vendredi 1er août, notre collaborateur occasionnel, Michel Schneider, a dû subir à son domicile une mise en garde à vue, audition et perquisition « coercitive » en règle de plus de 6 heures de la part de la PJ niçoise mandatée par le procureur Eric de Montgolfier, lui-même actionné par un procureur de Lyon (un habitué sur lequel nous reviendrons !) qui a demandé une enquête préliminaire sur le fondement d’une plainte bien trouvée d’un membre du lobby juif-sioniste lyonnais pour, cela ne s’invente pas, « offense au chef de l’Etat » (comprendre le nabot actuellement en vacances au Cap Nègre) et les habituelles « négation de crime contre l’humanité » et autre « contestation de l’holocauste » bref « révisionnisme » (c’est-à-dire dissidence par rapport à la pensée officielle, et contestation de celle-ci). Sur le plan juridique, on ne voit pas très bien comment un particulier pourrait déposer une plainte pour « offense au chef de l’Etat ». Curieux « procureur » que celui de Lyon, clairement un serviteur zélé de Rachida Dati, elle-même à la dévotion de ses commanditaires désormais bien connus. Comment des juges « français » peuvent-ils obéir à une Rachida Dati ? Cela est tout à fait révélateur de notre triste époque…
Le seul élément permettant de mettre en cause notre camarade Michel Schneider, et figurant au dossier, est un article du « Monde » le désignant comme l’animateur originel du site. Ce qui est faux, même s’il a encouragé notre initiative à son origine. Les démentis qu’il a envoyé, à l’époque, au « Monde », à « Libération » ainsi qu’à « Canal Plus » n’ont naturellement jamais été publiés. Pour le parquet, seul un article du « Monde » fait foi, et permet de déclencher une enquête préliminaire. C’est cela aussi, une « république bananière », celle de Sarkozy et de son officier traitant Balkany, repris de justice sioniste bien connu….
Dans les faits, notre ami étant presque un habitué de ce genre de situation, et connaissant un peu… les règles qui régissent une mise en garde à vue et une perquisition, les choses se sont passées de manière courtoise et conformément aux lois actuellement en vigueur. Les spécialistes en informatique de la PJ, lourdement équipés, ont décortiqué pendant plus de trois heures l’ordinateur de notre camarade, en particulier son disque dur dans ses zones les plus cryptées. Sans succès naturellement. Aucun document n’a été saisi et notre camarade n’a signé aucun des procès-verbaux présentés, se bornant à répondre qu’il n’avait pas de déclaration à faire. Une telle mésaventure peut vous arriver demain. Prenez vos précautions pour y faire face. N’oubliez pas que nous sommes en guerre !
Source : http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkEZZpEkZleIeXtmMp.shtml