Des
tueurs non identifiés ont tué quatre personnes le vendredi, trois
soupçonnés d’espionnage pour les forces de l’OTAN, et un chef local
d’une madrassa.
Le corps des trois hommes suspectés
d’espionnage ont été retrouvés dans le sud du Warizistan , une note
rédigée en pashtoon a été laissée près des cadavres les accusant
d’espionnage et affirmant que d’autres espions américains seront
liquidées.
nord du Warizistan c’est un dénommé Maulana Abdullah responsable d’une
madrassa qui a été tué par des militants non identifiés alors qu’il se
tenait debout devant la madrassa les assassins ont eu le temps de
s’enfuir dans un véhicule aux vitres teintées.
est a rappeler que des combats font rages ces derniers mois contre les
forces de
l’occupation de l’Otan . En effet le dimanche 13 juillet 9
Soldats américains de la force internationale ont été liquidés lors
d’une attaque de grande envergure par les talibans .
Le poste avancé
occupé par l’Otan dans la région de Wanat (province orientale de
Kounar) a fait l’objet d’une irruption sans précédent de la part des
moujahidines via une petite brèche .Source: Dailytimes.com.pk
3 espions US liquidés au Warizistan
province du Kounar s’avère être particulièrement redoutable. En juin
2005, seize soldats avaient été tués dans la chute de leur hélicoptère
touché par une roquette. Ils venaient en aide à un commando de quatre
Navy Seal pris dans une embuscade. Trois avaient trouvé la mort alors
que le quatrième avait été recueilli par des villageois
Cette opération qui a duré toute la journée de
dimanche, s’inscrit dans la lignée des attaques audacieuses et
spectaculaires menées depuis le début de l’année par les rebelles
d’autant plus que le poste avancé (Forward Operation Base – FOB – dans
le jargon militaire anglo-saxon) de Wanat était occupé depuis moins de
cinq jours par les soldats de l’Otan. Auparavant, ils étaient
stationnés dans la province voisine du Nouristan. Leur déplacement
avait été qualifié par la FIAS de « repositionnement pour des raisons logistiques et opérationnelles ».
En juin dernier, un commando rebelle a attaqué la
prison de Kandahâr, libérant quelque 1 000 détenus, dont 400 liés aux
taliban. En avril à Kaboul , un autre commando avait attaqué le défilé
militaire commémorant le seizième anniversaire de la victoire des
moudjahidine sur les communistes, tuant six personnes, dont un
parlementaire. Le président afghan, Hamid Karzaï, participait à cette
cérémonie.
En janvier, une autre attaque spectaculaire avait fait
également six morts dans l’hôtel de luxe Serena, situé dans l’un des
quartiers les plus protégés de Kaboul. Le mode opératoire rappelle
celui employé dans l’opération visant la prison de Kandahâr.
Un commando de quatre hommes avaient participé à
l’attaque. L’un d’eux s’était fait exploser à l’entrer de l’hôtel,
ouvrant la voie à ses camarades. Ils avaient lancé des grenades et
ouvert le feu à la Kalachnikov, avant de prendre la fuite.
En mars, des rebelles avaient également attaqué un
complexe gouvernemental abritant, dans la province de Khôst, une base
de l’Otan en deux temps, combinant un assaut conventionnel pour
éliminer les gardes avant de lancer une attaque suicide à l’aide d’un
camion bourré d’explosifs.
dimanche, s’inscrit dans la lignée des attaques audacieuses et
spectaculaires menées depuis le début de l’année par les rebelles
d’autant plus que le poste avancé (Forward Operation Base – FOB – dans
le jargon militaire anglo-saxon) de Wanat était occupé depuis moins de
cinq jours par les soldats de l’Otan. Auparavant, ils étaient
stationnés dans la province voisine du Nouristan. Leur déplacement
avait été qualifié par la FIAS de « repositionnement pour des raisons logistiques et opérationnelles ».
En juin dernier, un commando rebelle a attaqué la
prison de Kandahâr, libérant quelque 1 000 détenus, dont 400 liés aux
taliban. En avril à Kaboul , un autre commando avait attaqué le défilé
militaire commémorant le seizième anniversaire de la victoire des
moudjahidine sur les communistes, tuant six personnes, dont un
parlementaire. Le président afghan, Hamid Karzaï, participait à cette
cérémonie.
En janvier, une autre attaque spectaculaire avait fait
également six morts dans l’hôtel de luxe Serena, situé dans l’un des
quartiers les plus protégés de Kaboul. Le mode opératoire rappelle
celui employé dans l’opération visant la prison de Kandahâr.
Un commando de quatre hommes avaient participé à
l’attaque. L’un d’eux s’était fait exploser à l’entrer de l’hôtel,
ouvrant la voie à ses camarades. Ils avaient lancé des grenades et
ouvert le feu à la Kalachnikov, avant de prendre la fuite.
En mars, des rebelles avaient également attaqué un
complexe gouvernemental abritant, dans la province de Khôst, une base
de l’Otan en deux temps, combinant un assaut conventionnel pour
éliminer les gardes avant de lancer une attaque suicide à l’aide d’un
camion bourré d’explosifs.
Cette opération qui a duré toute la journée de
dimanche, s’inscrit dans la lignée des attaques audacieuses et
spectaculaires menées depuis le début de l’année par les rebelles
d’autant plus que le poste avancé (Forward Operation Base – FOB – dans
le jargon militaire anglo-saxon) de Wanat était occupé depuis moins de
cinq jours par les soldats de l’Otan. Auparavant, ils étaient
stationnés dans la province voisine du Nouristan. Leur déplacement
avait été qualifié par la FIAS de « repositionnement pour des raisons logistiques et opérationnelles ».
En juin dernier, un commando rebelle a attaqué la
prison de Kandahâr, libérant quelque 1 000 détenus, dont 400 liés aux
taliban. En avril à Kaboul , un autre commando avait attaqué le défilé
militaire commémorant le seizième anniversaire de la victoire des
moudjahidine sur les communistes, tuant six personnes, dont un
parlementaire. Le président afghan, Hamid Karzaï, participait à cette
cérémonie.
En janvier, une autre attaque spectaculaire avait fait
également six morts dans l’hôtel de luxe Serena, situé dans l’un des
quartiers les plus protégés de Kaboul. Le mode opératoire rappelle
celui employé dans l’opération visant la prison de Kandahâr.
Un commando de quatre hommes avaient participé à
l’attaque. L’un d’eux s’était fait exploser à l’entrer de l’hôtel,
ouvrant la voie à ses camarades. Ils avaient lancé des grenades et
ouvert le feu à la Kalachnikov, avant de prendre la fuite.
En mars, des rebelles avaient également attaqué un
complexe gouvernemental abritant, dans la province de Khôst, une base
de l’Otan en deux temps, combinant un assaut conventionnel pour
éliminer les gardes avant de lancer une attaque suicide à l’aide d’un
camion bourré d’explosifs.
Source : Los Angeles Times ( latimes) et AFP