Le projet balistique des
Etats-Unis dans le golfe Persique
Le New York Times a tout récemment dévoilé des détails sur un projet de
l’administration Obama du déploiement d’un système anti-balistique dans
le golfe Persique. Les Emirats Arabes Unis, Bahreïn, le Koweït et le
Qatar ont donné aux Etats-Unis leur feu vert pour que Washington
installe sur leur territoire respectif, son système anti-missile
Patriot. Pour la première fois, c’était le général David Petraeus,
commandant des forces centrales américaines, qui en a parlé dans son
intervention à l’institut d’études de la guerre du Pentagone, de ce
projet anti-balistique dans le golfe Persique sans mentionner pour
autant les pays qui devraient accueillir ce système. Les responsables
militaires et politiques américains ont avancé le même prétexte, déjà
formulé pour le déploiement du système anti-missile en Europe de
l’Est : contrer ce qu’ils appellent les menaces balistiques de l’Iran.
Il est vrai que l’iranophobie est devenue, ces dernières années, l’axe
des politiques expansionnistes des Etats-Unis dans le golfe Persique.
L’administration américaine attise le feu de l’insécurité au
Moyen-Orient, notamment dans le bassin du golfe Persique, suggérant aux
Etats de la région que la RII représente une menace, pour ainsi
prétendre que Washington voulait assurer la sécurité de la région.
l’administration Obama du déploiement d’un système anti-balistique dans
le golfe Persique. Les Emirats Arabes Unis, Bahreïn, le Koweït et le
Qatar ont donné aux Etats-Unis leur feu vert pour que Washington
installe sur leur territoire respectif, son système anti-missile
Patriot. Pour la première fois, c’était le général David Petraeus,
commandant des forces centrales américaines, qui en a parlé dans son
intervention à l’institut d’études de la guerre du Pentagone, de ce
projet anti-balistique dans le golfe Persique sans mentionner pour
autant les pays qui devraient accueillir ce système. Les responsables
militaires et politiques américains ont avancé le même prétexte, déjà
formulé pour le déploiement du système anti-missile en Europe de
l’Est : contrer ce qu’ils appellent les menaces balistiques de l’Iran.
Il est vrai que l’iranophobie est devenue, ces dernières années, l’axe
des politiques expansionnistes des Etats-Unis dans le golfe Persique.
L’administration américaine attise le feu de l’insécurité au
Moyen-Orient, notamment dans le bassin du golfe Persique, suggérant aux
Etats de la région que la RII représente une menace, pour ainsi
prétendre que Washington voulait assurer la sécurité de la région.
Et
dans la mise à exécution de cette politique, le démocrate Barack Obama
ne se démarque pas beaucoup de son prédécesseur républicain, George W.
Bush. C’est d’ailleurs la même politique que la Maison Blanche poursuit
avec acharnement depuis l’avènement de la Révolution islamique, il y a
31 ans, au Moyen-Orient, politique qui repose sur une campagne de
désinformation contre les programmes nucléaires civils de l’Iran, pour
ainsi pousser les monarchies du littoral du golfe Persique à dépenser
leurs pétrodollars à se fournir encore et encore d’armes et
d’équipements militaires, transformant finalement la région en un grand
dépôt d’armes, et dans le sillage baliser le terrain aux géants
américains d’armes d’empocher des bénéfices colossaux. En effet, il
s’agit d’une partie de la politique américano-européenne d’engendrer la
tension et de semer l’insécurité parmi les pays du bassin du golfe
Persique pour pouvoir ainsi leur vendre leurs armements. Un simple
regard sur l’Histoire montre que l’Iran n’a jamais représenté, depuis
ces 300 années, aucune menace pour aucun pays. Il avait été par contre
agressé par tous les pays. Les programmes militaires de la RII
notamment ses programmes balistiques sont de nature purement défensive
d’autant plus que le gouvernement iranien a, toujours, tendu la main
d’amitié à ses voisins du sud du golfe Persique, pour une coopération
d’ordre sécuritaire.
dans la mise à exécution de cette politique, le démocrate Barack Obama
ne se démarque pas beaucoup de son prédécesseur républicain, George W.
Bush. C’est d’ailleurs la même politique que la Maison Blanche poursuit
avec acharnement depuis l’avènement de la Révolution islamique, il y a
31 ans, au Moyen-Orient, politique qui repose sur une campagne de
désinformation contre les programmes nucléaires civils de l’Iran, pour
ainsi pousser les monarchies du littoral du golfe Persique à dépenser
leurs pétrodollars à se fournir encore et encore d’armes et
d’équipements militaires, transformant finalement la région en un grand
dépôt d’armes, et dans le sillage baliser le terrain aux géants
américains d’armes d’empocher des bénéfices colossaux. En effet, il
s’agit d’une partie de la politique américano-européenne d’engendrer la
tension et de semer l’insécurité parmi les pays du bassin du golfe
Persique pour pouvoir ainsi leur vendre leurs armements. Un simple
regard sur l’Histoire montre que l’Iran n’a jamais représenté, depuis
ces 300 années, aucune menace pour aucun pays. Il avait été par contre
agressé par tous les pays. Les programmes militaires de la RII
notamment ses programmes balistiques sont de nature purement défensive
d’autant plus que le gouvernement iranien a, toujours, tendu la main
d’amitié à ses voisins du sud du golfe Persique, pour une coopération
d’ordre sécuritaire.