Qu’est Ce Qui Risque De Se
Passer Le 21 Et 22 Janvier 2009, Un Jour Aprés l’Investiture Du Nouveau
Président US ?

Lors d’une interview sur MSNBC le 19/10/08 où Colin
Powell annonçait son soutien au candidat Démocrate à la présidentielle
US, Barak Obama, il a fait une remarque anticipatrice pour le moins
surprenante.

Le 19 Octobre 2008, Colin Powell, ancien secrétaire d’état sous la
première Administration de G.W.Bush, et général à la retraite, était
l’hôte de la célébre émission sur la chaîne de TV américaine MSNBC ,
"Meet the Press" pour publiquement annoncer et expliquer son soutien au
candidat Démocrate à la Présidentielle, Barak Obama.

Lors de cette interview
, Colin Powell a annoncé qu’il y aurait une crise le 21 et 22 janvier
2009, sans fournir plus de détails. Le journaliste de MSNBC qui
l’interrogeait n’a pas non plus juger bon de lui demander des
précisions sur ce qu’il entendait par une "crise". Celle-ci aurait donc
lieu, selon les dires de Colin Powell, le lendemain et le surlendemain
de l’entrée en fonction du nouveau Président des Etats Unis, en
l’occurence Barak Obama le candidat qu’il soutient. Cette prédiction
intervient au bout de 2 minutes 40 et on entend Powell dire : " il va y avoir une crise qui adviendra le 21 et 22 janvier dont nous n’avons même pas connaissance en ce moment même". Le futur Président des Etats Unis sera élu le 4 novembre et entrera effectivement en fonction le 20 janvier 2008

Ce n’est pas la première fois qu’est évoqué cette période de prise de
fonction de Barak Obama si c’est lui qui remporte les élections
présidentielles, ce qui semble acquis selon les derniers sondages
annonçant qu’il devance largement John McCain le candidat Républicain.
Hillary Clinton, adversaire malheureuse de Barak Obama à la course à
l’investiture Démocrate, avait fait à l’époque des déclarations
affolantes faisant froncer les sourcils de certains à Washington.

Clinton avait évoqué la possibilité d’une attaque terroriste juste
après l’entrée à la Maison Blanche de Barak Obama, affirmant qu’elle
serait mieux à même d’affronter la situation que lui. Elle avait fait
remarquer que le lendemain de la prise de fonction du premier ministre
britannique, Gordon Brown, il y avait eu une tentative avortée de
double attaques à la bombe à Londres et à Glasgow.. Elle avait dit à
l’époque :
" Je ne pense pas que ce soit par accident qu’Al Qaeada ait décidé de
tester le premier ministre.. Ils suivent nos élections de manière aussi
assidue que nous le faisons, peut être même plus assiduement que
certains de nos concitoyens le font… N’oublions pas que vous allez
élire un Président pas simplement pour faire ce qu’un candidat dit
pendant la campagne électorale, mais vous voulez aussi que le Président
soit là dans les moments difficiles".

Elle avait aussi évoqué lors de sa campagne, provoquant un tollé
général, la possibilité que Barak Obama soit assassiné comme l’ont été
John Kennedy et Martin Luther King.

Autres paroles qui vont dans le sens
d’une possible "crise" immédiatement après l’entrée en fonction de Bara
Obama comme Président, celles prononcées par le co listier d’Obama, Joe
Biden, réputé pour faire des gaffes lors de ses interventions
publiques. Biden a parlé des premiers 90 jours de la présidence d’Obama
comme de "90 jours de crise"

Bef de quoi s’interroger par anticipation sur cette "crise" triplement annoncée.

Qu’elle sorte de crise ?

Provoquée par quoi ?

Par qui ?

Dans quel but ?

Une opération type faux pavillon comme semblent avoir été les attaques
du 11 Septembre 2001, selon les informations de plus en plus nombreuses
qui font surface et abondent dans ce sens ?

Obama, quant à lui, a commencé à
parler prudemment – pour ne pas laisser croire que tout est déjà joué
dans cette présidentielle – de son activité post élection entre le 4
Novembre et le 20 Janvier, période de transition qu’il aurait prévu
d’organiser pour faire en sorte qu’elle se passe le plus calmement
possible (le "calme avant la tempête" ?). Il a révélé avoir mis en
place des équipes de travail pour s’occuper de la politique financière
et étrangère, et a annoncé son soutien à la conférence sur la crise
financière mondiale qui doit avoir lieu aux Etats Unis le 15 Novembre
et à laquelle doivent participer les chefs de gouvernements des pays du
G8 plus certains dirigeants de pays émergents. Il a déclaré que "l’Amérique doit diriger et d’autres nations doivent faire partie du processus"
reaffirmant la position toujours adoptée par les dirigeants américains,
Démocrates et Républicains, de domination mondiale américaine, même si
elle est parfois teintée de coopération multilatérale quand la
situation l’exige, ce qui est la cas en ce moment les US traversant une
crise sans précedent.

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