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500 soldats français débarquent déjà en Pologne pour rejoindre via un corridor reliant l’Europe de l’Est à l’Ukraine le bataillon Azov ainsi que des agents de la CIA/MI6/MIT, qui tirent en ce moment sur les civils ou pilonnent dans la pure tradition de False flag yankee les soldats ukrainiens pour les empêcher de se rendre et de déposer leurs armes.

Où Macron embarque-t-il la France ?

Selon certaines sources, « Des extrémistes d’Azov ont ouvert le feu sur des civils tentant de fuir Kiev, causant la mort d’une dizaine de personnes. D’autres volontaires radicaux veulent utiliser des vecteurs biologiques pathogènes dans le système de distribution de l’eau potable, saboter les usines chimiques après avoir échoué à créer une brèche dans le sarcophage ou l’arche de confinement entourant le réacteur numéro quatre de la centrale nucléaire de Tchernobyl ».

Ces mêmes sources ajoutent que les radicaux extrémistes du Polk Azov (Régiment Azov) et les volontaires étrangers sont très en colère contre les militaires de l’armée régulière ukrainienne qu’ils mitraillent à la première occasion. Ces radicaux sont ciblés en priorité par les forces spéciales russes. C’est à peu près dans ce contexte que la marine française vient d’attaquer il y a quelques heures, un navire russe traversant la Manche. Selon des données préliminaires, un commando de débarquement a atterri à bord du navire à partir d’un hélicoptère, lequel a saisi le navire. À l’heure actuelle, le navire russe a été détourné de force vers le port de Boulogne-sur-Mer, dans le nord de la France.

Les Français qui semblent visiblement imiter la marine du CGRI quand elle saisissait les pétroliers avec du pétrole volé iranien à bord, semble toutefois se tromper de cible, d’autant plus que selon certains rapports, avant la saisie, le navire a été militairement pris pour cible, ce que les commandos iraniens auraient pu éviter, leur tactique étant suffisamment forte pour créer la dissuasion.

La Russie laissera-t-elle passer ce coup ?

Disons que Paris, n’ayant pas trop de liens commerciaux avec les Russes et étant même d’accord pour que la Russie soit éliminé du Swift, croit surement jouer là un coup aussi contre l’Allemagne. Mais les répercussions pourraient en être bien plus graves que ce que Paris s’imagine. Selon les sources russes, il s’agit d’un cargo civil dont on ignore le nombre d’équipages.

La partie russe n’a pas encore fait de déclaration officielle concernant l’attaque contre un cargo civil, cependant, les experts soulignent la forte présence des navires russes en Méditerranée orientale où la flotte de guerre française est présente avec notamment le porte-avion Charles de Gaulle.

Des couacs similaires depuis le début de l’offensive russe ?

Ceux du Kazakhstan qui a refusé de reconnaître l’indépendance de Louhansk et de Donetsk et n’enverra pas de troupes en Ukraine, sans par égard pour le Sultan Erdogan. Et l’Arménie de Pachinyan qui en fera autant, là encore, pour cause du tropisme pro otanien. Ce qui n’est curieusement pas le cas de Bakou qui vient de signer 43 accords dont des accords sécuritaires avec Moscou. Le regretteront-ils comme risque de le regretter la France ?

Le Kazakhstan n’a pas accepté de reconnaître les républiques du Donbass et a refusé d’aider la Russie dans son opération militaire. Les autorités kazakhes ont souligné qu’elles considéraient toujours la région du Donbass comme faisant partie du territoire de l’Ukraine. En plus, le Kazakhstan a refusé d’envoyer ses militaires en Ukraine. « Le Kazakhstan, l’un des alliés les plus proches de la Russie et voisin du sud, rejette une demande visant à ce que ses troupes se joignent à l’opération en Ukraine », ont déclaré vendredi des responsables.

En outre, l’ancienne république soviétique a déclaré qu’elle ne reconnaissait pas les républiques séparatistes créées par la Russie et soutenues par le président russe Vladimir Poutine., selon NBC. Les autorités du Kazakhstan n’ont pas encore confirmé cette nouvelle.

Par ailleurs, le porte-parole du ministère arménien des Affaires étrangères a déclaré, mercredi, que la reconnaissance de l’indépendance de Donetsk et de Louhansk n’était pas à l’ordre du jour d’Erevan. « Erevan prône un règlement négocié et diplomatique des différends entre l’Ukraine et la Russie et un dialogue fondé sur les principes internationaux dont la Charte des Nations unies », a-t-il souligné. Lundi soir, le président russe, Vladimir Poutine, a déclaré que les dirigeants ukrainiens n’étaient pas arrivés à établir la sécurité dans le pays, ce qui a entraîné la dépendance de l’Ukraine aux pays étrangers tels que les États-Unis. L’Ukraine a perdu son indépendance et sa stabilité et s’est transformée en un refuge pour les opportunistes, a déclaré le président russe.