Publié par alkali sur octobre 13, 2008
Théodore Herzl en train de s’adresser au congrès de Bâle devant un parterre de banquiers et d’administrateurs politiques et économiques et médiatiques du monde entier.
Herzl est athée, la plupart des gens qui sont dans la salle le sont, ou sont en tout cas en antagonisme parfait avec le peuple d’Israël dont ils viennent de se draper pour monter leur affaire du moment. Le Sionistan, étape dans leur domination du monde. Porte avion depuis lequel ils mènent leur combat contre l’humanité. Glaive planté dans le flanc de la région la plus riche en ce qui en ces années 1850 commence à etre connu comme une source d’énergie phénoménale.
Sionistan, puisqu’ils ont volé un saint nom et que le nommer Israël est un sacrilège…
Comme le démontre l’histoire, vérifiable, les premiers cris d’antisémitisme datent de la mise à jour du sionisme vers les années 1850. Un peu partout déjà à travers le monde des associations se créaient dont le but était le soit disant retour du peuple juif à Sion. L’invasion inversée venait de commencer. Mais au préalable il leur fallait une cape magique, derrière laquelle ils pourraient se cacher pour accomplir leur forfait sans risquer d’être le moins du monde inquiétés. Comme nous le démontre tous les jours, un peu partout à travers le monde, l’usage de cette accusation suprême, et ses conséquences. Sur biens des domaines de la vie humaine. Bien plus qu’il n’y semble au premier abord.
L’invention du mythe de l’antisémitisme fut sans conteste la plus efficace cape d’invincibilité qui ait jamais été cousue.
L’affaire Dreyfus fut un Hoax/faux monumental monté par les médias et les responsables politiques qui obéissaient aux gens du parterre de Herzl.
Bien avant la création de l’état juif, des hommes conspiraient, espionnaient et tuaient, sous le couvert du sionisme. Faire un tel flan à cette époque d’une histoire pareille démontre bien le gouffre entre la réalité et le monde virtuel conçu pour nous par les médias l’édition et le lobby en général.
Aux états unis cette affaire (ces affaires car elles furent nombreuses comme partout ailleurs en occident) a pris une autre forme et n’a pas pu pénétrer autant dans les lois qu’en Europe. Elle fut à l’origine de l’ADL, qui est l’anti-défamation-league, qui veut simplement dire outil de censure suprême. Et qui décrit bien ce besoin de faire taire par quelque moyen que ce soit toute voix dissonante. Le texte du Bnai Brith lu à cette même assemblée, finalise la compréhension du concept qui vient de naitre de façon officielle. Il ne s’agit plus de faire taire seulement mais d’assassiner en final tout ce qui peut poser un problème à leur but final.
Organisations dont nous connaissons tous l’impact absolu sur les politiques intérieures et étrangères aux états unis. De l’assassinat de JFK, au 11 septembre, nous avons une vision large de leurs domaines d’influence et de leurs capacités. Tant sur le plan action que couverture.
En Russie des événements semblable et à la même époque sont les fils d’ariane du complot qui s’installe. Comme le dit si bien Douglas Reed les administrateurs furent disséminé dans un exode massif des régions slaves et khazares pour y appliquer leur programme politique qui mena le monde à travers ses trois guerres mondiales à la soumission virtuellement volontaire. Dont nous voyons les derniers actes.
Le but était de créer un tabou qui empêcherait quiconque de s’apercevoir que des hommes complotaient pour dominer le monde. Un tabou en forme d’arme de persuasion massive. Un tabou que peu de gens osent affronter. Mais un tabou de papier, en forme de château de carte s’appuyant sur ses succès parfois simulés de la part de la “victime“ pour assoir encore plus largement son emprise. Un géant qui lutte depuis plus d’un siècle et demi pour imposer le silence le plus absolu sur la réalité. Un tabou qui sans internet aurait bien pu passer inaperçu durant encore un bon siècle, hormis quelques rares informés. Un tabou qu’une allumette peut enflammer et faire disparaitre dans une gerbe démentielle.
Un paravent qui a permit et permet encore à une bande de banksters de réduire l’humanité en esclavage et en détruire périodiquement toutes les forces vives. Sans que jamais aucun questionnement ne puisse aboutir.
Paravent qui apparait en même temps que les protocoles des sages de Sion, où le mot juif utilisé savamment à la place de sioniste, allait en rendre progressivement la lecture interdite voir criminelle. Au point qu’il ne fait aucun doute que cette fuite déformée, est intentionnelle et préméditée. Du fait de sa participation plus qu’active au concept d’antisémitisme. Elle en est une pièce essentielle.
Partout les médias ont commencé à broder sur ce terme qui en son essence dénie le moindre droit à la clique de Khazars sionisés, sur la Palestine. N’étant de fait en aucun cas des sémites, contrairement à ceux qu’ils assassinent en Palestine en Irak et ailleurs.
Des livres retracent assez bien l’emprise des sionistes sur les médias depuis avant la révolution française. Le terme juif utilisé est en absolue contradiction avec la nature sioniste des protagonistes. Tous soit athées soit faussement religieux, mais tous ne révérant que l’argent roi et le pouvoir qu’il apporte. Tous ces athées vont pourtant utiliser la cape du judaïsme, et continuent de le faire alors même que les hautes autorités du Judaïsme orthodoxe rejettent le sionisme et ses mythes. rejete en masse le lucre, la luxure, l’incest, l’adultère, l’envie, l’usure et tant d’autres abominations devenues vertus par la morbide répétition médiatique et idéologique.
Invention préalable d’un peuple icone, qui est confirmée par les historiens israéliens eux-mêmes.
L’accusation d’antisémitisme sert aux comploteurs, et criminels à se cacher derrière un tabou confus et inextricable pour éviter toute enquête sérieuse. La question juive mise en avant sous les termes de solution finale et utilisée la première fois par Herzl, est fondatrice des deux guerres mondiales. Et de la troisième en cours.
Se défaire de cette peur de l’accusation d’antisémite est un devoir sacré, car elle empêche le débat de se placer dans le champ du réel, et le place dans le domaine du politiquement correct, ce qui le rend par la même inepte et insolvable. Les sionistes utilisent cette cape pour faire taire ceux qui tentent de se soulever contre eux. Mais même en contribuant au mythe qui fait des juifs du monde des sémites, rien ne vient confirmer que ce peuple est un peuple faible et soumis. Rien ne vient confirmer que ce peuple souffre plus qu’un autre. Bien au contraire, ceux qui utilisent cette cape sont parmi les hommes les plus puissants de la planète dans tous les domaines d’application. Finance, médias, justice, renseignements et action, ils dominent tous ces domaines.
Se défaire de cette peur est une urgence planétaire. Défaire les lois qui nous confinent dans le faux et le faux semblant est notre premier et plus important problème. Toutes les solutions possibles découlent de cette peur, et des illusions qui l’accompagnent. Juger cet homme qui a continué à vendre à plusieurs pays le sang qu’il savait contaminé, plutôt que de le laisser faire nos lois.Voila comment devrait s’extérioriser cette peur virtuelle, en pointant vers les vrais coupables sans qu’aucune cape de quelque nature que ce soit ne puisse les protéger.
Enfin pour finir, l’utilisation de celle-ci par les médias actuels pour contraindre au silence les chercheurs de vérité qui ne peuvent par excellence qu’y être confrontés tant les sionistes sont à tous les échelons du complot du 11 septembre n’en est que l’ultime facette. Rendant le dialogue quasi impossible, car l’utilisation du terme antisémitisme permet de rejeter d’un revers de la main, l’enquête la plus approfondie et la plus sérieuse, sans même l’aborder.
Il n’y a l’heure actuelle de pire tabou ni de plus dangereuse cape, qui réussit l’exploit de rendre invisible ce qui est flagrant.
La répétition et l’usage immodéré du mot lui-même aurait du lever des doutes sur les protagonistes du 11 septembre. Et sur les véritables profiteurs de la guerre contre le terrorisme.